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La qualité de l’air et la démocratie participative présenté par Lucy Natarajan

L’air,  indispensable à la vie sur Terre, est menacé par la météorologie et par les actions humaines qui influencent grandement la qualité de l’air. 

 

L’enjeu est donc de prendre en compte la santé des Hommes. 

 

Le groupe UCL’s Clean air Community Cross Faculty tient compte de ces enjeux et porte des intérêts communs autour d’un travail institutionnel dans le cadre du projet hospitalier Clean Air Gosh’s. 

 

Il existe depuis peu des villes enveloppées de fumée… 

Par conséquent, des archéologues égyptiens ont découvert de la fumée dans les poumons de certaines momies. Cette découverte a permis aux archéologues de s’apercevoir que c’était en partie eux les responsables de l’élimination des odeurs dans les zones urbaines. 

Selon un témoin décrivant cette situation : “Dès que je me suis échappé de l’atmosphère oppressive de la ville et de cette odeur terrible de cuisine fumante qui, lorsqu’elles étaient utilisées, déversait un gâchis de vapeur et de suie. J’ai tout de suite perçu que ma santé se réparait … Alors je suis à nouveau mon ancien moi, ne ressentant plus de langueur dans mon système, et plus de paresse dans mon cerveau” 

 

 

 

Londres a également été touché par l’impact de la qualité de l’air. En 1952, le Royaume-Uni va connaître la pire pollution atmosphérique de son pays. 

En effet, le grand smog de Londres va tuer près de 12 000 personnes toutes les deux semaines. 

 

 

 

En 1956, la loi sur la qualité de l’air est créée dans le but de mettre en place de nouvelles stations de production d’électricité avec des hauteurs de cheminées accrues. L’objectif est de disperser le plus loin possible la fumée des zones locales. 

 

 

 

Malgré la création de cette loi, on s’aperçoit que les villes dans le monde ont de plus en plus de mal à gérer la qualité de l’air. Particulièrement au niveau du dioxyde d’azote provoqué par les sources diverses: énergie, transport, solvant, agriculture. 

Les facteurs urbains sont multiples, notamment au travers des aménagements urbains, de l’emprise foncière. 

Selon ClientEarth : “Les estimations de ClientEarth basées sur des données gouvernementales suggèrent que 13 écoles, d’une capacité de plus de 6000 places, ont été construites ou approuvées sur ou à proximité de routes avec des niveaux illégaux de dioxyde d’azote depuis 2012. 

Au total, 21 écoles ont été construites ou approuvées au cours de la même période sur ou à proximité des routes avec des niveaux de particules fines (PM2,5) – qui peuvent traverser la muqueuse pulmonaire dans la circulation sanguine – au dessus des limites recommandées par l’Organisation Mondiale de la Santé

 

 

 

Une réglementation que les villes ne respectent pas et qui peut engendrer des tragédies comme celle de Ella Kisse-Debrah décédée en 2013 suite à des crises d’asthmes. Suite à cette perte, sa mère Rosamund Adoo-Kissi-Debra est devenue militante et collectrice de fonds à Londres. 

L’enquête a révélé que la pollution de l’air était en partie responsable de la mort de Ella Kisse-Debrah. 

 

 

 

A la suite de plusieurs épisodes de pollutions atmosphériques à Londres, la ville a décidé d’investir dans la mobilité douce. Des militants cyclistes appellent à prendre des mesures de sauvegarde notamment au travers de pistes cyclables, de barrières pour les bus, de trottoirs plus larges et de pouvoir se déplacer en trottinettes électriques.